samedi 30 juillet 2005
sam
30
juil '05
Ne vous méprenez pas,
La théorie n'avait l'air de rien, mais pour certains, le postulat était déjà dans l'air.
Mon Dieu ! Dans un Dédale d'explications je vais errer.
Les puissances de l'air tourbillonnaient en mon esprit. Dans cet état, je n'espérais plus vivre sur mes erres et encore moins suivre celles des autres.
Je piétinais alors les ers qui dessinaient l'allée, et dans ma lancée, j'escomptais prendre de l'erre. J'oubliais tout d'un coup ce qu'était le bel air des choses et du savoir vivre car ma décision était prise : elle consistait à me déguiser en courant d'air pour aller taquiner les habitants de l'air.
Avant cela, un peu d'air avait été glissé entre les objets de cette petite aire de vie pour y éclairer toutes les aires du vent. Sur cet erre, la surface s'était laissée dévoiler. Les Muses, appelées par la Sérénité et par l'Eclaircie, m'ont murmuré un air suave. Ne m'efforçant pas à en avoir l'air et la chanson, comme les autres jours, personne ne soupçonnait l'état de mon aire.
D'air en air, de vers en vers, un rouleau se déroulait à l'infini. Et ce carbone fictif a fasciné mon esprit et m'a ravie. Depuis, je virevolte sur du carbone fictif incolore et j'y esquisse puis y modèle comme cela me vient toutes les aires qui me font vivre.
La théorie n'avait l'air de rien, mais pour certains, le postulat était déjà dans l'air.
Mon Dieu ! Dans un Dédale d'explications je vais errer.
Les puissances de l'air tourbillonnaient en mon esprit. Dans cet état, je n'espérais plus vivre sur mes erres et encore moins suivre celles des autres.
Je piétinais alors les ers qui dessinaient l'allée, et dans ma lancée, j'escomptais prendre de l'erre. J'oubliais tout d'un coup ce qu'était le bel air des choses et du savoir vivre car ma décision était prise : elle consistait à me déguiser en courant d'air pour aller taquiner les habitants de l'air.
Avant cela, un peu d'air avait été glissé entre les objets de cette petite aire de vie pour y éclairer toutes les aires du vent. Sur cet erre, la surface s'était laissée dévoiler. Les Muses, appelées par la Sérénité et par l'Eclaircie, m'ont murmuré un air suave. Ne m'efforçant pas à en avoir l'air et la chanson, comme les autres jours, personne ne soupçonnait l'état de mon aire.
D'air en air, de vers en vers, un rouleau se déroulait à l'infini. Et ce carbone fictif a fasciné mon esprit et m'a ravie. Depuis, je virevolte sur du carbone fictif incolore et j'y esquisse puis y modèle comme cela me vient toutes les aires qui me font vivre.
Je rends hommage à tous les r, W-Fred.